Un mois et demi après sa présentation, Bard est enfin accessible au grand public. Mais de manière très limitée, puisque seuls les internautes américains et britanniques peuvent s’inscrire à la liste d’attente. Google n’a cependant pas intégré son robot conversationnel directement dans son moteur de recherche. Il se distingue ainsi de Microsoft, qui a déjà ajouté ChatGPT à Bing pour tenter de gagner des parts de marché. Leader incontesté de la recherche en ligne, le géant de Mountain View a, lui, choisi une approche plus prudente alors que la technologie est encore loin d’être parfaite. Selon des tests menés par la presse américaine, Bard commet encore beaucoup d’erreurs. Il fournit aussi des réponses moins détaillées que son rival. Mais il a aussi moins tendance à divaguer, refusant de répondre à davantage de questions et coupant court plus rapidement aux conversations.
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